L’image du plancher chauffant à été ternie par la haute température dans les années 1970.
Dans les bâtiments sans isolation, le sol a été porté jusqu’à 35° pour essayer de chauffer les volumes habitables. Aux erreurs de conception et problèmes de fiabilité s’ajoutait un inconfort thermique, avec des sensations de jambes lourdes, des problèmes vasculaires et des maux de tête sous l’effet de la forte chaleur.
Désormais, avec une température maximale superficielle au sol de 28° (Arrêté Ministériel du 23 juin 1978) et des réseaux plus denses de circulation qui offrent une meilleure répartition de la chaleur, ce mode de diffusion de chauffage s’avère économique et confortable.